Bureau de Gary Capaldi - Directeur du Département de l'Armement de la Shinra

Accuser la Shinra de vouloir piller une Entreprise d'Armes, alors qu'ils en produisaient déjà en masse... Elle était culottée la Daenerys Targaryen, en fait !

- Allez y, continuez à vous enfoncer, bande de dégénéré mentaux...

Gary avait fait un Communiqué très rapidement dessus, pour dénoncer les accusations calomnieuse de la part de cette demoiselle. De plus qu'il devait gérer certains anciens potes de Scarlett qui essayaient de l'inciter à justement aller détruire les dépôts d'Armes d'Avalanche qui auraient été trouvé.

Oui, il fallait les faire sauter, en effet. Mais il n'était pas Scarlett. Il allait agir avec plus de méthode, et de fourberie, surtout.

Présent ici, Gary qui était assis à son bureau, se lèvera pour se dégourdit un peu les jambes. Il ira même se faire un Thé, afin de décompresser un peu. Il taffait comme un malade depuis ce matin, et avait l'impression de ne pas en voir le bout, avec certains. Dont notamment avec cet idiot de Palmer, à qui il avait fini par claquer la porte de son bureau au nez, après l'avoir menacé avec son flingue.

Je finis par venir ici, après avoir subi un léger incident. On m'a suggéré de faire un rapport.

Je tape à la porte.

- Entrez !, siffla-t-il.

Alors qu'il venait de se servir sa tasse de thé, qu'il avait d'ailleurs commencé à siroter.

Je finis par entrer. Je porte un léger pansement :
"Oh, je...te dérange, Gary ? Je suis venu te remettre un rapport."

Sur le rapport, il est expliqué que je passais derrière un collègue, Stephen Haines, qui tenait un fusil. Et il s'est retourné vers moi et une rafale est partie. Sept balles ont touché à côté et trois m'ont touché à l'épaule. Je ne sais pas si le coup était volontaire ou pas. Il avait le doigt au niveau de la gachette.

- Non, pas du tout...

Gary lira le rapport, avant de poser sa tasse, sur son bureau, pour se pincer l'arête du nez, d'agacement, avec deux de ses doigts.

- Putain mais c'est la saisons des guignols où quoi ?!, siffla-t-il.

J'indique :
"Ouais bah tu excuseras mon réflexe d'aller lui coller une patate... Putain, que ça fait mal..."

- Je constate qu'il t'a pas loupé, ce troufion, en effet, soupira-t-il.

Je réponds :
"C'est clair... J'ai un bras en moins... J'aurai du mal à les contrôler si je dois les essayer, je crois... Enfin, ça aurait pu... être pire."

- En effet, répondit-il.

J'indique :
"Pourtant, j'ai déjà demandé à ce qu'ils ne se retournent pas avec l'arme pointée sur quelqu'un..."

Gary se permettra d'envoyer des messages.

- Je constate qu'on continue toujours à me prendre pour un clown, parce que soi-disant, j'ai autant de charisme qu'une huître, selon certains...

Je lance :
"Moi, on me traite de fille à peine baisable..."

J'ai un physique plutôt banale. ON ne me considère pas la plus jolie.

Gary se permettra de l'observer.

- On sent les mecs qui vont passer leur temps à baiser les putes, à Wall Market, fit-il dans un soupir.

Certains avaient fait courir des rumeurs le concernant, comme quoi il avait été vendu à une femme d'Avalanche. Alors que c'était totalement faux. Le Contrat de Mariage qui le liait à une autre avait été rompu, peu après qu'il avait su que la famille faisait partie d'Avalanche.

Je réponds :
"Effectivement. Ils veulent que je leur apporte leur café, le temps qu'on y est ?"

- Oh que j'airais bien foutre des balles dans le cul de certains, marmonna-t-il, en serrant les poings.

Je sors mon fusil à pompe, non pointé sur lui :
"Tu veux ça ?"

- J'ai ce qu'il faut, t'inquiètes, fit-il.

J'indique :
"Parfait. Triste à dire mais j'ai eu ça chez les Frost."

Je sors un Fusil à pompe de la Shinra. Je le pointe en bas. Il se désintègre et tire. Je me tends à l'extrême.

- Les Armes de la Forge de Sven sont en effet de meilleure qualité que ce qui était produit jusqu'à présent par la Shinra, soupira-t-il.

Je semble tendue à l'extrême :
"E... ffecti... vement..."

Gary souffla pour se calmer, ensuite.

Je souffle :
"À deux doigt... d'avoir... un pied en moins..."

- Fais... attention, souffla-t-il.

Je souffle :
"Ouais... j'essaie..."

Mais pourquoi il y avait une balle dedans d'ailleurs ?