Parc de Junon

Présent ici, Arion semblait profiter d'une pause, alors qu'il zieutait les réseaux socaux.

Un collier de contrôle, hein... Nan mais qu'on me dise pas à nouveau que les corporations douvent disparaître, après ça, avec cette tarée de Britney...

Même lui qui avait parfois des méthodes peu conventionnelles n'aurait jamais été jusqu'à utiliser un ruc pareil...

Je me trouve ici, en train de boire un café serré et bien noir (comme ma...)

J'ai condamné l'utilisation d'un tel mécanisme. Par contre, j'aimerais bien savoir comment Britney a eu ce genre de chose. Et après, c'est les corpos les méchants.

Arion semblait se le demander aussi, parce qu'il lui semblait qu'aucune entreprise ne fabriquait ce genre de connerie, où alors elle leur était complétement inconnue...

Je souffle :
"Alors là... si... je m'attendais à ça..."

- Et après c'est nous les méchants, selon elle, fit-il dans un soupir. Nan mais je rêve, on marche sur la tête, là...

Je demande :
"Mais... ce collier... marche comment ?"

Il lui fera un petit topo là-dessus.

Je frissonne :
"Seigneur..."

Ouais, ce n'était pas du joli, en effet.

Je demande :
"Mais quelque chose comme ça se vend partout ?"

- C'est interdit à la vente, me semble-t-il, répondit-il.

Je réponds :
"Je vois... C'est... flippant..."

- Ouais, répondit-il.

Je siffle :
"Pourquoi ça m'étonne venant d'Avalanche ?"

- Je pense clairement qu'il va y avoir des désertions, fit-il.

Je souffle :
"Tu penses vraiment ? Les suiveurs sont parfois aveugle."

- Il suffirait effectivement qu'elle ait d'autres de ses merdes, en effet, répondit-il.

Il regardera les réseaux. Britney les prenaient pour des cons, donc. Comme Cynthia, il fut assez virulent dans sa réaction.

- Allez, dévoilez que vous allez mettre ce collier à d'autres personnes... Vous venez de faire une énorme erreur en disant que vous réussirez à endiguer la menace Shinra...

Il cherchera quelque chose dans sa poche, et semblera l'activer sans sortir le dispositif.

Je le laisse faire donc.

Arion soupira de lassitude, ensuite. Ilcommençait à saturer, avec tout ça.

Je souffle :
"Tu devrais faire une pause."

- Ouais, je... je sais, souffla-t-il.

Mais pas évident avec la menace actuelle, en vérité.

J'indique :
"Je sais qu'on a pas des métiers faciles mais je souhaiterais... parfois passer un peu de temps avec toi..."

Je rougis.

Arion semblera quelque peu faire un blocage. Avait-il bien entendu, où venait-il de rêver ?

Je toussote, venant de me rendre compte ce que j'ai dit.